Les petites astuces qui rendent la vie plus
agréable, les trucs qu'on tricote au fils des mois de
galère, de tâtonnement. Chacun à les siennes, bien
que Linux soit déjà un système plein de trucs et
astuces. On en découvrent tout les jours sur ce système,
à tel point que je le compare à un gigantesque jeux qui
peut ce découvrir sur plusieurs niveaux et à chaque
chemin que l'on creuse on trouve des astuces accompagnés d'un
clin d'œil du programmeur qui l'a conçu.
taf easy
pour avoir >
facile
Ici, je vais juste vous donner les miens, quelques trucs qui me
servent tout les
jours.
Alain Adelmar
Quelques possibilités qui cause problème et comment y
remédier.
Avec grub normalement il n'y à pas de problème, mais
quand il y à problème ça peu vite devenir super
gênant. Alors normalement les problèmes surviennent suite
à une installation soit suite à une mise à jours,
ou une ré-installation d'un système petit joueur (WinSoft
MicroDoses).
Choses à savoir sur grub en règle
générale:
Normalement on peut installer grub sur n'importe lequel des disque dur,
pourvu que ce disque dur soit sélectionnable par le Bios de
votre bécane.
Si vous avez juste des distributions Linux, vous pouvez effectivement
faire quasiment n'importe quoi, normalement il n'y aura pas de
problème par contre si vous avez aussi une partition Windows, il
est plus sage de la positionner sur la première partition du
premier disque dur et d'installer grub dessus.
Je m'explique, vous pouvez bien sûr faire comme bon vous semble
mais il est plus facile de faire comme indiqué au dessus.
Comprendre grub: Un fichier donne la configuration de grub c'est
/boot/grub/grub.conf
Il vous renseigne comment il voit, et comment il va faire pour lancer
le multitboot, c'est d'ailleurs ce fichier qu'on devra modifier si grub
ne fonctionne pas comme on veut.
exemple:
# grub.conf generated by anaconda # # Note that you do not have to rerun grub after making changes to this file # NOTICE: You do not have a /boot partition. This means that # all kernel and initrd paths are relative to /, eg. # root (hd0,0) # kernel /boot/vmlinuz-version ro root=/dev/sdb1 # initrd /boot/initrd-[generic-]version.img #boot=/dev/sdb |
ceci est en commentaire et vous
indique comment grub appréhende votre système, donc ce n'est là qu'a titre d'information |
default=0 | ceci
signifie que si l'utilisateur ne choisi pas, dans les temps un
système pour lancer la bécane, par défaut la
première configuration sera lancé (c'est à dire la
0 (
le dernier noyau Linux)). Pour faire partir Windows XP par défaut il faut changer cette ligne en default=2 |
timeout=15 |
c'est le temps que vous aurai pour
vous décider en secondes |
splashimage=(hd1,0)/boot/grub/splash.xpm.gz |
le nom de l'écran de choix,
sur quel partition et l'adresse de l'image |
hiddenmenu |
si on appuis pas sur TAB
le menu reste caché |
title Fedora
(2.6.33.3-85.fc13.i686.PAE) |
title
sera le label du premier choix (Fedora
(2.6.33.3-85.fc13.i686.PAE) |
root
(hd1,0) |
indique que la racine de ce
système est sur la première partition du second disque dur si on avait voulu le définir sur la première partition du premier DD on aurai écrit: root (hd0,0) |
kernel
/boot/vmlinuz-2.6.33.3-85.fc13.i686.PAE ro |
Indique que le noyau est
/boot/vmlinuz-xxxxxx
(/répertoire/nom_du_noyau) |
title Windows XP |
label du second choix qui paraitra
comme Windows XP |
rootnoverify
(hd0,0) |
indique que la racine de ce
système ce trouve sur la première partition du premier DD
mais de pas vérifier. |
makeactive |
de rendre cette partition active |
chainloader +1 |
et de charger |
Maitenant il arrive que grub ne ce charge pas suite à
une installation ou une mise à jours.
d'abord regarder les périphérique présent sur
votre système en tapant :
# sudo fdisk -l
puis comparez avec le fichier device.map si vous trouver qu'il manque
un périphérique au fichier map. mettez le à jours
en lançant grub-install sur le périphérique que
vous désirez. Exemple:
# sudo /sbin/grub-install /dev/sda --reboot
ceci installera grub sur le premier DD et restaurera le fichier
device.map par la même occasion.
sm
à la consolesu -
tar -xvf seamonkey-1.1.16.fr-FR.linux-i686.installer.tar.gz
yum install libstdc++.so.5
- placer le répertoire seamonkey-installer dans le bon
répertoire:
mv ./seamonkey-installer /usr/local
/usr/local/seamonkey-installer/seamonkey-installer
rm -rf /usr/local/seamonkey-installer
xrandr
[alain@alain miroir]$ xrandr
Screen 0: minimum 320 x 200, current 2304 x 864, maximum 4096 x 4096
VGA-0 connected 1152x864+1152+0 (normal left inverted right x axis y
axis) 300mm x 225mm
1152x864 75.0*+
1280x1024
74.1 75.0 60.0
1024x768
75.1 70.1 60.0
832x624
74.6
800x600
72.2 75.0
60.3 56.2
640x480
72.8 75.0
66.7 60.0
720x400
87.8 70.1
S-video disconnected (normal left inverted right x axis y axis)
DVI-0 connected 1152x864+0+0 (normal left inverted right x axis y axis)
306mm x 230mm
1152x864 75.0*+
1600x1200 65.0
1280x1024 75.0
1024x768
85.0 75.1
832x624
74.6
800x600
85.1 75.0
640x480
85.0 75.0 60.0
720x400
70.1
xrandr --output VGA-0 --mode 1152x864 --output DVI-0 --mode
1152x864 --left-of VGA-0
alias buroE=xrandr --output VGA-0
--mode 1152x864 --output DVI-0 --mode
1152x864 --left-of VGA-0
voilà c'est fait, vous sauver le fichier .bashrc ou
.bash_profil et au prochain démarrage en tapant :
Pour fermer xrandr:$ ps -ef | grep "xrandr"
>XXXX (PID)
kill XXXX
A noter que vous pouvé peut
être installé beryl sur Xfce ou KDE de
la
doc ici
Quoi est une commande, un alias
qu'il suffit de taper suivi d'un nom de fichier ou d'un début de
nom pour avoir la signification et/ou les modifications apportés
à ce(s) fichier(s) (3 à 4 lignes par fichier). Il est
très utile dans de nombreuses circonstances. En effet, lorsque
vous gardez une distribution assez longtemps, vous ne vous rappelez
plus quelle modifications à été faite à tel
ou tel fichier de configuration, document de travail, scripts ...
Qui se rappelle de toutes les
variantes, des modifs, du contenu de tout ses fichiers partout.....?
Moi pas et grâce à la commande quoi je peu voir
l'essentiel du contenu en 3 ou 4 lignes même quand je ne me
rappelle pas complètement du nom du fichier.
Comment ça marche : fastoche lorsque j'écris un
scripts
ou un document ou que je modifie un fichier j'écris une ligne
commençant par :
remd: ou # remd:
lorsque c'est un script ou un exécutable, suivi de quelques
explications exemple:
# remd: ce script permet de
modifier le nom des fichiers d'un répertoire en ajoutant a la
suite du nom leur date de création exemple nom_de_fichier.log
=> nom_de_fichier_120498.log |écrit le 12.04.01| possible
changer localtime(time) ligne 15
Ne pas oublier aussi
d'écrire la ligne ci-dessous dans votre fichier ~/.bashrc
alias quoi="grep -A4 -w remd:"
Une fois placé cette
ligne activera l'alias quoi et le tour et
joué.
Le principal
intérêt de quoi, n'est peut
être pas celui auquel l'on pense.
Et oui en plus de vous renseigner
sur le contenu de votre fichier, il vous servira aussi à
repérer les fichiers modifia, dans leur ensemble.
Je m'explique il vous suffit de taper:
et vous allez avoir la liste,
sur deux lignes de tout les fichiers contenant cette balise.
On peut aussi s'en servir dans
d'autre répertoires et en sortie de pipe, ce qui la rend
très utile, voir incontournable.
Je l'ai écris juste pour me
rappeler des fichiers que j'avais modifié ou traduit, mais
depuis je l'utilise pour quantité de choses car utilisé
de manière étendu quoi
devient une commande majeure.
Essayé là et vous
l'adopterai.
Tout mes scripts Perl contiennent
la balise remd: en deuxième lignes (mais on peut la mettre ou
l'on veut), style:
#!/usr/bin/perl -w
# remd: vers 1.1 tafed (Traducteur
Anglais-Français EDitable) ce script permet de traduire du texte
depuis n'importe quelle console.
# Sur Linux ainsi que sur MS DOS
(pour MS DOS ôter /usr/bin/ de la première ligne) le
fichier dico se nommer dico_A-F.dico et
# il est éditable
directement depuis un menu: Ang-Fra | Fra-Ang | Edit . Tafed est Ok _
made by alain Adelmar 25.11.00
Il vous suffit d'entrer vos
commentaire derrière la balise remd: (qui elle même peut
ce trouver derrière un # ).
Donc ultra pratique pour les
script, de plus vous pouvez prendre comme habitude d'entrer un
numéro de version ou une date en début ou en fin de
balise et du même coups vous disposé d'un outils des plus
performant.
Et oui, imaginez toutes les
possibilités que l'on peut tirer d'une telle balise, et le
travail que peut fournir quoi en sorti de pipe et lui même muni
d'une pipe ? ça donne le vertige....
Essayez là, vous ne
pourrez plus vous en passer.
Trouver le
man de quoi.7 au format man ,
quoi.html et celui au le man_quoi
.html
alain Adelmar
find /home/commun -type f -name "lettre*" -exec ls -l {} \; >
ls_lettre.log